L’animation des grains d’espace consiste en un battement – dans une autre dimension que celles de l’étendue : ce battement n’est pas un mouvement. Et les caractéristiques de ce battement définissent l’état des grains : la température est l’amplitude du battement.
La température d’un objet matériel serait donc celle de l’espace dont il est fait – l’agitation des atomes et des molécules n’en étant que la conséquence.
La propagation des états des grains donne lieu à des ondes – les ondes électromagnétiques.
La loi du rayonnement, ou de l’échange d’énergie (loi de Planck), repose sur
- un flux théorique (fonction de l’amplitude des ondes),
- la probabilité d’excitation des états vibratoires (selon la distribution de Bose-Einstein).
L’espace étant homogène et isotrope, un grain d’espace est entouré, en tout lieu, du même nombre de grains.
Il est donc possible d’établir
- le nombre total de grains entourant un grain, en fonction de la distance depuis ce grain,
- l’amplitude des ondes provenant du changement périodique existant dans les grains, en fonction de la période de ce changement,
- le flux d’énergie théorique, en fonction de la période.
Pour les très courtes périodes (les très petites longueurs d’onde), la variation de l’amplitude serait inférieure à celle qui sous-tend la loi du rayonnement de Planck. Et l’énergie du photon ne serait plus proportionnelle à la fréquence.
On retrouve ainsi le spectre des rayons cosmiques observé – ils auraient bien, alors, une origine électromagnétique.